Mardi 1 Décembre 1981 Le Matin
Ce matin, la routine habituelle, douche, petit dej. Départ aux chantiers pour lembauche et vers 9,00 h en route pour le rendez-vous avec la chef de centre, ou je retrouve mon collègue responsable des travaux sur la côtière, et on fait le point de tous les chantiers en cours, afin dêtre prêt, pour la réunion du lendemain avec le big chef, qui doit arriver ce soir et sera accueilli pas le chef de centre.
Le lendemain, on remet ça, mais cest le chef de centre qui parle et nous on assiste. La réunion terminée, le big boss me demande de rester ?
Et là, surprise, surprise, et, grosso modo, il mannonce que je suis muté à Nancy, avec une promotion, que je dois y être en début dannée, quil a voulu sy opposer mais quil na pas pu et que je dois mettre au courant mon successeur qui doit arriver,
Je rentre à la maison pour midi et annoncer ça à AL, qui refuse très nettement, et avec raison de me suivre. En effet, prise à la coopération, elle doit, au moins, finir lannée universitaire afin ensuite dêtre replacée dans une université en France et peut-être davoir un poste en fac en France.
En fait nous avions un mois, pour déménager AL, celle-ci ayant obtenu un appartement dans le bâtiment réservé aux professeurs, Il fallut faire quelques bricoles dans ce logement et en accord avec lintendant je mis deux ouvriers à faire ces bricoles. Avec sa nouvelle installation, la préparation de ses cours,
et moi avec les consignes à passer à mon successeur, sans compter que pour les travaux que nous faisions je ne rentrais pas à la maison pour déjeuner. Le soir venu nous nous couchions épuisés.
Cétait un peu la bousculade.
Jeudi 3 décembre 1981
Du coup je navais pu rendre de visite intime à Véro, quune seule fois et encore car elle avait envoyé son chauffeur pour un service nécessaire et important. Après en avoir informé mon remplaçant, je me rendais voir ma belle et gourmande blonde qui me reçut rapidement dans son bureau.
Alors que je mattendais à des reproches plus ou moins justifiés de lavoir abandonnée, bien que nous nous voyions, en bons camarades, les samedi soir en boite, elle eut la gentillesse de maccueillir en me disant : « Je nai pas le temps de te faire des reproches,
alors occupes-toi de moi,
tu mas manqué,
je me suis préparé pour toi,
dis-moi que tu as envie de moi,
de me prendre,
» et elle vint se coller à moi. Elle était chaude au possible. Aussitôt un chaud baiser nous rapprocha, nos langues se caressèrent. Après cela, je la repoussais gentiment pour la regarder à bout de bras, le décolleté était généreux, en déboutonnant deux boutons, cela permettait de dégager une belle paire de seins, bien pleins aux tétons bien dressés et qui ne demandaient quune chose, cétait dêtre pris par une bouche gourmande, ce que je fis. Presque en même temps que je me gavais du gout de ces belles choses, je mefforçais de remonter la large jupe de sa robe. Voyant le mal que javais, Véro my aida, sachant parfaitement comme moi où je voulais en venir, elle glissa deux pans de sa jupe dans sa ceinture, ce qui me permit davoir accès à sa grotte damour que je caressais du bout de deux doigts, doucement. « Arrêtes ce jeu idiot et méchant,
prends moi,
viens, rentres,
» Jen profitais pour la pousser gentiment vers et sur la table, ce qui se fit en douceur et elle se posa sur la table, se basculant en arrière, en ouvrant le compas de ses jolies cuisses : « Cest ce que tu veux,
je moffre à toi,
jaime moffrir ainsi à toi,
viens, ma chatte tattends,
je tattends,
» Je navais plus quà mexécuter, ce que je fis avec un plaisir évident, elle sentait la femelle chaude, son odeur était enivrante et je me mis à lui bouffer la chatte avec gourmandise et il était vrai quelle nattendait que cela, chaude à souhait, en même temps deux doigts la pénétraient avec fougue, ce qui la fit se tendre et réagir : « Oui,
cest ça,
jaime être prise comme ça,
» Alors que plus je la masturbais fortement, plus elle souvrait, plus elle disait son plaisir dêtre un peu brutalisée : « Oui,
continues,
tu sais me donner du plaisir,
je saurais ten donner,
oui,
que jaime,
OOOOHHH,
OUIIIIIIII,
OUIIIIII,
» et jouissant elle se cabra, avant de se laisser aller sur la table pour reprendre son souffle, enfin se rasseyant : « Jai aimé,
donnes moi tes doigts que je goute au plaisir que tu mas donné,
viens à moi,
je veux voir si tu as envie de moi,
» et se laissant glisser de la table, elle entreprit de me défaire du pantalon et du caleçon, alors quelle se baissait, je la retins et je lui dis : « Tournes toi,
je veux te faire lamour,
» elle se retournant en disant : « Non,
je veux que tu me baises,
que tu me baises fort,
comme tu sais le faire,
tu sais que je nattends que ça,
vas-y,
prends ton plaisir,
tu men donneras,
» et se retournant elle remonta la jupe de sa robe, mettant en valeur son joli cul.
Javais une très belle trique qui, ne demandait quà servir, alors que je mapprochais, Véro avait glissé sa main entre ses cuisses et me saisissant me guida dans son minou que jenfonçais d un bon coup de rein, ce qui fut reçu avec un : « Oh,
oui,
». Cétait le moment dêtre performant, cramponné à ses a-hanches jaccélérais petit à petit mes va et vient dans sa chatte bien ouverte et bien lubrifiée. Quand le rythme fut atteint, je lui claquais la fesse droite et tel une belle jument elle se cabra avec en prime : « Oh,
OUI,
continues,
et pour la satisfaire je remettais ça sur lautre fesse, avec un : « Oh,
brute,
cest bon,
», quand, jeu lidée de prendre à pleine main ses cheveux et de les tirer à moi, ce qui fut apprécié par ; « OH,
oui,
jaime quand tu me montes comme ça,
continues,
» Mais je commençais à atteindre mes limites de résistance et il me fallait la faire partir avant que je lâche tout, ce qui me fait accélérer le mouvement ce quelle sembla apprécier : « OH,
Oui,
continues,
ne tarrêtes pas,
encore,
baises moi fort,
OUI,
prends ton plaisir,
OOOOHHH,
OUIIIIIII,
OUIIIIII,
» et elle fut saisie dun spasme qui la fit entièrement se contracter pendant que bien enfoncé dans sa grotte damour et cramponné à ses hanches je me vidais et la remplissais de mon plaisir. Essoufflée, elle se redressa, les yeux brillants et un large sourire, me mettant les bras autour du cou : « Brute épaisse,
je tadore,
jespère que tu as eu du plaisir,
jai aimé,
viens contre moi,
non,
assieds-toi dans ce fauteuil, tu veux un café,
»
Moi : « Tu ne penses pas que tu devrais te réajuster,
»
Véro : « Oui,
mais jaime me promener devant toi,
à moitié nue,
des fois que,
»
Moi : « Ce nest pas déplaisant au contraire,
mais,
» elle était là avec le café
Véro : « Tiens, bois ton café,
et je viens sur tes genoux,
»
Ce quelle fit. Le café bu : « Je suis à moitié nue,
profites, caresses moi,
tu sais quaprès lamour jaime que tu me caresses,
jaime tes mains sur moi,
partout,
partout,
»
Cest ce que je fis, au bout dun moment alors que jétais en train de lui caresser doucement, amoureusement les cuisses, elle se pencha dans mon cou et très doucement dis : « Si, un jour je veux un bébé, ce sera toi qui me le feras
»
Là je faillis bondir et faisant semblant de ne pas avoir entendu, je lui demandais ce quelle venait de dire : « Moi,
rien,
enfin si,
je te disais que si tu nétais pas marié à ma meilleure copine,
je te demanderais en mariage,
»
Moi : « Je pense que tu deviens folle,
»
Véro : « Oui,
de toi,
et je crains ton départ,
et puis arrêtes de me caresser,
je pense que si tu continues,
» et elle se mit debout, posa ses mains sur mes épaules découvrant ainsi de nouveau ses seins, posant ses lèvres sur les miennes en me dit : « Allez files,
sinon, je vais faire des bêtises,
» Cest ce que fis.
admin
Jan. 31, 2023
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